SANTÉ : Gouverner sans imputabilité, c’est gérer sans culotte.

Écrit par Bernard Brault le 08/03/2010

En fait, la langue française n’explique pas le terme ‘imputabilité‘ de la même façon que la langue de Shakespeare. Il ne faut pas dire imputable en parlant d’une personne, mais ‘responsable‘ semble-t-il. Quel mot laid ce terme de responsable! Ça veut dire que quelqu’un par son action ou par son inaction est la source d’un évènement ou d’un échec.

Quel est le dénominateur commun entre le CHUM, les Urgences et l’imbroglio administratif de paperasse qui a entraîné le décès d’un patient en attente d’une chirurgie cardiaque? Poser la question c’est déjà la moitié de la réponse. Mais personne ne veut poser la vraie question. Donc nous n’avons même pas la moitié de la vraie réponse. Il est plus facile de viser la tête du ministre. Mais le système de santé au Québec ce n’est pas uniquement un ministre et un sous-ministre. Il y a tout de même quelques hauts gestionnaires, un très petit nombre bien sûr, et quelques médecins chargés de gouverner une section de cette grosse machine. Sont-ils tous sourds, aveugles, insensibles, incompétents et en attente de leur pension ! Je ne crois pas, mais leur modèle de gestion aurait lieu d’être envoyé au musée.

En matière de Saine Gestion le modèle de gouvernance est intégré, c’est-à-dire que chacune des obligations de Saine Gestion est reliée aux autres actes de gestion et qu’aucun des 6 principes fondamentaux ne peut être invoqué au détriment des autres.

Autrement dit avec un cadre de Saine Gestion conforme aux valeurs de l’OAAQ, il est plus difficile d’échapper à ses responsabilités de gestionnaires.

Vous connaissez l’expression « porter ses culottes » quand on prend une décision. Eh bien, à la Santé ils n’ont pas de culotte à porter, tout simplement parce que ce sont des gestionnaires sans culotte. De grâce, dites-moi que j’ai tort !


24 commentaires

par Claire C. le 03/13/2010

Serieusement, a quoi vous attendez-vous en mettant un medecin (sans experience en gestion) a la tete d’un hopital ou meme d’un ministere? Je m’excuse, mais c’est un permis pour l’echec. Pourquoi sent-on toujours le besoin d’attribuer un poste de gestion a celui ou celle ayant le plus d’anciennete, meme s’il ou elle na aucune experience en gestion???

par Robert le 03/13/2010

Tout simplement pcq on pense que c’est mieux ainsi……. Dans toute les cie ou j’ai travaillé c’était comme ca. Même ma soeur qui travaille dans une banque pour être directrice il faut avoir fait la caisse.

Mais pour avoir du vrai changement il faudrait que même en politique on arrête de voter pour des candidats qui sont pas des gestionnaires… C’est presqu’e tous le temps des avocats les politiciens. Des avocats sont des regleux de chicanes……. pas des gestionnaires!

par J.-G. Duchesne le 03/14/2010

Robert et Claire C., c’est vrai, on s’entête malheureusement souvent à accorder des promotion suivant l’ancienneté, même lorsque la personne n’a pas toutes les compétences requises. Cette tendance est largement répandue, surtout dans les milieux syndicaux. Une autre école de pensée, probablement issue du paradigme industriel (du grec «paradeigma» qui veut dire modèle), veut qu’un «bon gestionnaire» ait occupé tous les postes sous lui. Encore vrai dans de nombreux milieux, c’est en train de changer. On voit maintenant des gestionnaires accomplis arriver dans les institutions bancaires, dans les chaînes hotelières, etc., et prendre un poste de gestion sans expérience préalable dans le domaine. Il ne faut cependant pas croire qu’un bon employé avec des années d’expériences ne puisse pas faire un bon gestionnaire.

Il est d’ailleurs intéressant (et rafraîchissant) d’apprendre que l’Institut ait formé des directrices de CPE à gérer sainement (je ne suis pas familer au concept, mais je présume qu’après avoir été formé par l’Institut en Saine Gestion, on gère sainement!). Ce n’est pas un secret de polichinelle, ces directrices sont d’excellentes éducatrices avec peu ou pas d’expérience en gestion. Et je parle en connaissance de cause, j’ai eu trois enfants qui ont fréquenté trois CPE différents, et dans les trois cas, même constat. C’est d’ailleurs une grosse machine que ces CPE. De mémoire, je crois qu’il s’agit du deuxième plus gros employeur au Québec. Ça fait donc pas mal d’argent qui passe entre des mains bien intentionnées mais pas toujours expertes en gestion. Certains rétorqueront qu’elles sont pourtant encadrées par un conseil d’administration. Malheureusement, le conseil, même s’il est aussi animé des même bonnes intentions, n’a souvent pas plus d’expérience car il est composé des parents utilisateurs pas nécessairement experts en gestion! Et même s’ils étaient des experts en gestion, on n’a qu’à penser à la caisse de dépôt pour avoir des frissons dans le dos… C’est fou comme on est en manque de Saine Gouvernance, ou plutôt de Saine Gestion pour reprendre l’expression de cet institut en saine gestion.

J’en parlerai à 10 personnes… Quelqu’un a l’adresse de courriel de Jean Charest et Gérald Tremblay???

par Nathalie le 03/14/2010

Moi je suis en poste de DG depuis seulement 1 ans dans un CPE en région. Je n’ai jamais entendu parlé de votre Institution avant. Comment peut-on s,inscrire? Je n’ai pas de diplôme en gestion. Merci.

par Luc le 03/14/2010

Pas besoin d’être gest. pour faire sauver de l’argent à notre résau de santé. Il faut just éléminer les carte d’hopîtal (il parait que ça coute $1.00 ch. et que les québécois en a 3 ch. en moyenne). Chu pas expert en math, mais a 8 millions, ça fait une couple de millions de dollard comme faut. Juste une carte soleil pour tout le monde.

par Bernard Brault le 03/14/2010

Bonjour, la plupart des régions sous l’AQCPE organisent ou ont organisé des cours pour les directrices et pour les conseils d’administration. L’Institut de SG est ouvert à toute personne qui veut promouvoir la SG. Regardez sur le site de l’ISG pour l’admission. Par ailleurs, un cours d’initiation pour les membres est donné la semaine prochaine, appelez à l’Institut (mercredi au vendredi). L’ISG ne fait pas de consultation. BB

par Bernard Brault le 03/14/2010

Sans doute une idée à développer…. à condition que quelqu’un prenne une décision ! La gouvernance gouverne mais ne décide pas !

par Chantal le 03/14/2010

Depuis votre blog sur le maire de St-Hipolite qui fait de la saine gestion, je lis régulièrement votre site. Je suis dans les Laurentides et je ne peux pas venir suivre de formation SAINE GESTION à Montréal (pour le moment). Est-ce que vous mettrez bientôt du matériel sur votre site, genre un résumé de la méthode ou même la formation en ligne? En attendant, j’aimerais savoir comment la SAINE GESTION rend plus difficile d’échapper à ses responsabilités de gestionnaire?

par Chantal le 03/14/2010

Luc, tu as bien raison…1$ x 3 x 7,000,000 = 21,000,000$. Ça fait environ 200 spécialistes de plus pendant une année! Si on en avait juste 2 de plus dans les laurentides, on serait déjà heureux.

par Bernard Brault le 03/14/2010

Bonjour, de façon générale, les deux livres publiés chez CCH voir site ISG expliquent le tout largement. Le premier, les chapitres 1 à 6 expliquent le concept. Le second est pratico-pratique d’application, section par section, du modèle de Saine Gestion. Nous mettrons bientôt (et est déjà disponible) le cadre de Saine Gestion pour les membres. Deveaux Brault offre aussi du matériel chargeable (grille de Saine Gestion). Aussi, d’autres cabinets se joindront à nous (déjà Québec et Aylmer). Cependant l’ISG est un organisme OBNL qui existe uniquement pour enseigner, surveiller, promouvoir et faire connaitre le modèle de SG.

NOUS SOMMES AUSSI EN ANGLAIS MAINTENANT. Tout a été traduit par des bénévoles ! Merci d’en parler à 10 personnes….

par Philippe Bruno le 03/15/2010

Le terme équivoque « responsable » a effectivement de quoi laisser perplexe. L’Office québécois de la langue française propose d’ailleurs une expression beaucoup plus précise comme équivalent français de « accountability » : obligation de rendre compte.

Certes, l’expression rend mieux l’idée de reddition de comptes, mais encore faut-il qu’il y ait véritablement « obligation » de rendre compte. Tant que des administrateurs et des gestionnaires pourront se dérober à cette obligation en passant au travers de règles de gouvernance mal articulées, l’obligation de rendre compte ne sera qu’un vœu pieux.

Souvent édictées en réponse à des évènements particuliers, les règles de gouvernance ne sont pas la solution au problème. Ainsi, un gestionnaire omet un jour d’informer un supérieur d’un conflit d’intérêt potentiel et aussitôt le conseil d’administration réagit ponctuellement en proposant une règle de gouvernance à cet égard. Puis, un autre jour, un autre gestionnaire utilise des ressources de la société à des fins personnelles. Le conseil réagit alors prestement avec une nouvelle règle de gouvernance visant ce point spécifique. Après un moment, la société se retrouve dès lors avec des règles de gouvernance couvrant un ensemble de points précis. Malheureusement, alors que certaines règles sont redondantes, d’autres sont tout simplement en contradiction.

Le gestionnaire mal intentionné, ou trop ambitieux, n’aura ainsi que peu de mal à se frayer un chemin entre les règles de gouvernance, contournant tantôt une règle par son contraire, invoquant tantôt une règle au détriment d’une autre, etc.

Le cadre de Saine Gestion est une réponse au problème de reddition de compte à la fois élégante et bien structurée. La Saine Gestion s’articule ainsi autour de six principes fondamentaux (transparence, continuité, efficience, équilibre, équité et abnégation) combinés aux cinq fonctions de gestion (planifier, organiser, diriger, contrôler et coordonner). Le concept préconise donc l’application des six principes fondamentaux à travers chaque fonction de gestion (c.-à-d. planifier avec transparence, organiser avec efficience, etc.), quelque soit la fonction de l’entreprise (marketing, production, finance, etc.). Le document suivant illustre le concept :
http://www.deveauxbrault.com/fr/services/saine_gestion/documents/41casespourleweb.pdf

Finalement, sous chacune des 41 cases se trouvent un ensemble de principes et de normes qu’on retrouve dans le Compendium des principes et normes de Saine Gestion de l’Ordre des Administrateurs agréés du Québec.

Le cadre de Saine Gestion, contrairement aux règles de gouvernance, forme donc un maillage serré, complet et indissociable, qu’on peut aisément vérifier et auditer.

Philippe Bruno, Adm.A.
Membre du Comité consultatif
Institut de Saine Gestion

par Georges le 03/15/2010

Gérer sans culotte, à condition de ne pas y laisser sa chemise!!! Décidément, sain gestionnaire que vous êtes, comme le bon vin, votre plume vieillit bien. Après Auger, Lagacé, Foglia et Nuovo, pourquoi pas Brault?

J’ai trouvé une vieille édition de votre bible abandonnée dans un édifice gouvernemental, sans doute oublié par un fonctionnaire distrait. C’est presque divin. Je l’ai soigneusement rangée à côté de mon missel quotidien et entre les deux j’alterne, au gré des bulletins de nouvelles.

Tous les hommes au coeur droit et aux mains pures seront séduits par votre proposition. Par récurrence, seuls les hommes indignes la repousseront et vous chasseront du temple en vous marginalisant. Malgré cela, foncez la tête haute! Rappelez-vous François Hertel que vous citez d’ailleurs de façon fort remarquable…

Cependant, les missionnaires vous le diront, évangéliser demande une patience que même le Christ n’avait pas. Ne perdrez point espoir car le chemin de « Lacroix » vous ouvre la voie. Certains riront bientôt « Jones » car vouloir répandre la bonne nouvelle de la Saine Gestion n’est pas une quête du Graal vaine et impossible.

Vous avez acquis mon indéfectible soutien.

Georges
Gatineau

par Debra Smith le 03/19/2010

I wish I could reply in French, but although I got the gist of the thread, I am not able to. Anyways, I agree with most of what has been said. It is not enough to flap our suspenders with a set of governance rules if malicious individuals could navigate through them and get away with murder. If the Saine Gestion framework is as sound as described, it certainly offers some hope. Merci!

par Bernard Brault le 03/19/2010

Bonjour Yves. Je vous réponds brièvement. La discussion peut faire l’objet de 45 heures de cours. Depuis 20 ans nous avons développé et diffusé le concept. J’ai colligé et développé avec une équipe formidable au début des années 1990 les Principes de Saine Gestion Généralement Reconnus au nom de l’OAAQ. Le concept actuel s’est développé par la suite autour de la pratique professionnelle de plusieurs consultants dont mon cabinet conseil. L’OAAQ a diffusé et fait connaitre le concept à travers le réseau des décideurs de l’époque. Le vieil adage dit qu’il n’y a pas de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre ! Depuis 2 ou 3 ans nous avons changé notre approche. La publication de mon dernier ouvrage a ouvert des horizons… par la base. Les décideurs publics ou privés préfèrant l’approche Gouvernance …. qui est beaucoup moins contraignante, il faut l’avouer. De son coté, l’OAAQ représente des professionnels de la gestion de toutes tendances, elle considère actuellement que ce n’est pas son rôle de favoriser tel ou tel modèle. Son rôle est de protéger le public de ses membres, non pas de tous les gestionnaires au Québec. Voilà maintenant où se situe le rôle de ISG. Dans les faits, nous avons zéro moyen. C’est principalement mon cabinent qui, à ce jour, avec quelques convaincus du domaine avons financé à fonds perdu l’ISG …. au risque de nous faire dire que nous sommes en conflit d’intérêts.
Nous croyons que ce concept doit être récupéré par tous les gestionnaires …. membres ou pas de la caste professionnelle. Dès que nous aurons les moyens nous offrirons aux membres de l’ISG une qualité d’outils remarquables. Pour les journalistes … nous sommes rien. J’ai diffusé les articles du site et envoyé mes livres. Nous ne représentons pas quelque chose de CROUSTILLANT parce que nos solutions ne sont pas des recettes vedettes vides de sens et explicables dans une entrevue de 18 secondes aux nouvelles. En 1995, nous avons brûlé bien des chances ainsi. La seule facon de diffuser le concept actuellement est le bouche à oreille. Chacun prendra le temps d’évaluer nos dires, les communiquera à d’autres gestionnaires intègres et ainsi nous ne serons pas une mode passagère pour accommoder quelques politiciens en mal de publicité.

En vous remerciant de l’intérêt que vous portez à nos travaux. Bernard Brault F.Adm.A F CMC.

Pour en savoir plus, plusieurs articles à être publiés prochainement et mes deux ouvrages sont très explicites, et croyez-moi je ne deviendrai pas riche en vendant des livres dans ce domaine.

par Philippe Bruno le 03/23/2010

Debra,

You are absolutely right, the Sound Management Framework, unlike Governance Rules, is a based on a series of norms that are both objective and measurable in day to day management. The framework is illustrated as a three-dimensional grid which combines sound management principles at the top (Transparency, Continuity, Efficiency, Balance, Fairness, & Abnegation), management functions on the left (Plan, Organise, Direct, Control, & Coordinate) and the targeted level of operation or function (shown as multiple layers on the lower right corner—Marketing, Sales, R&D, etc.).

This tool gives a clear picture highlighting the existence or absence of proper administrative concerns that must be addressed in order for the organisation to perform adequately. Since these are objectively assessed, no subjective opinion may interfere with the process and the result cannot reflect any opinion on anyone’s right or wrong style of management, but rather single out the practices that must be improved or provided to strengthen the organisation.

Philippe Bruno, C.Adm.
Member of the Consultative Committee
Institute of Sound Management

par Peter Bryant le 04/02/2010

Dear Mr. Brualt:

A search on health management best practices took me to your Sound Management Website. I quickly skimmed through the pages and read a few articles and posts. Very interesting concept. I followed a link to a nice framework with the PODCC and principles in a matrix. Should be a central element on your Website in my opinion, rather than a link posted by one of your followers. Anyhow, these are my 2 cents.

I have a few questions…

1) Do you believe your matrix can sustain identifying and mapping opportunities and challenges from policy to delivery (mainstream delivery that is)?

2) How can we best use this tool to make the case and promote a shared vision among stakeholders?

3) Have you ever measured the stability of your matrix with the « Routh-Hurwitz criteria »? You could use the coefficients of the characteristic polynomial as the bases of the criteria and the eigenvalues will give you a valuable index of system behavior.

Much obliged,

Peter Bryant
Professor, Decision Sciences, Health Administration

par Richard le 04/03/2010

Dear Colleague,

I also downloaded the matrix (about time somebody comes up with something brilliant with the PODCC… seems obvious now but lots of thinking behind for sure).

How would you calculate P0(y) and P1(y) to obtain the generalized Sturm chain? Anyways, the roots of a higher order characteristic polynomial are always difficult to obtain… I am pretty sure it is Hurwitz-stable anyways.

Richard

par Rahman Azari le 04/13/2010

Richard & Peter:
IMHO, the problem isn’t whether the « grid » is Hurwitz-stable or not. The tool, as presented, is an innovation in itself. Even Fayol would be enlighted to finally see a useful application of the PODC.

I am contemplating the idea of integrating this in one of my courses this fall. I will contact you soon to discuss further.

Mr. Brualt:
Are there any successful real-life implementation of this tool outside of the academic world?

Rahman Azari, Lecturer
UC Davis

par Bernard Brault le 04/13/2010

Mr Rahman Azari,

the answer is yes. There are lots of interesting maters to discuss.
We will translate soon some examples of implementation. Did you get the file regarding the presentation of the concept? The Institute members will also receive soon the application framework presentation.
I am presently working on a new edition of the » Exercer la Saine Gestion « . The interest is not only in the GASMP but their application through the grid (matrix) for the Sound Management Framework.
You could be really surprised by the easy application for a non management expert.
The problem appears with the expert management and finance management, public services, and government. They understand clearly the impact for a management Audit with this tool. They will have no possibility to avoid diagnosis and accountability!!!! That is why, for the last 20 years, we’ve had so many problems promoting the Sound Management approach. Now, thanks to the internet, since January we have had lots of traffic and questions from public.

B Brault.
info@sainegestion.org

par Gina Murphy le 12/10/2010

Je suis infirmière dans un hôpital du Québec et je me demande si et comment la saine gestion peut améliorer le service de santé au Québec. J’ai lu vos messages qui sont très intéressants, mais je ne suis pas sûr de saisir complètement votre solution. Est-ce que vous avez présenter votre solution au ministre de la santé?

Gina

par L. Laflamme le 12/10/2010

Je viens de lire le rapport du Transparency Internaltional Institute et j’aimerais savoir est-ce que la « saine gestion » s’applique au niveau « corporatif » ou au niveau « gouvernemantal »?

Merci,

L. Laflamme

par Cojalao le 12/12/2010

The health system, in many countries, deserves to be managed according to your principles. Too bad it is not known around the world and taught in universities and business schools everywhere. You should promote more.

Cojalao

par Saine Gestion le 12/16/2010

Existe-t-il un cadre de Saine Gestion adapté au domaine de la santé? J’ai appris que vous en avez développé un pour les CPE, mais qu’en est-il des autres domaines?

par Bernard Brault [ISG] le 12/16/2010

À notre connaissance certaines initiatives partielles ont été entreprises il y a quelques années, sans que nous y soyons associés. Le projet était conduit par M. Viateur Laplante, gouvernement du Qc.
Mais il ne s’agit pas de même type de Cadre de gestion basé sur la matrice des 41 cases.
Mais un véritable CDSG pour la Santé est tout à fait réalisable. Tout simplement une question d’adapter le cadre de base (ISG/DVB(tm)) aux multiples niveaux d’intervention surtout pour éviter les dédoublements administratifs.

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